Difficile d’imaginer l’angoisse qui devait étreindre les pèlerins de Sainte Anne, au quasi-jour de la déclaration de guerre, à quoi pensaient ces jeunes mariées qui portaient les bannières vingt ans après le carnage de l’autre guerre, après le non-retour des soldats, eux aussi, un temps, jeunes mariés, heureusement la nature humaine permet d’oublier « le temps d’un bon pique-nique et d’un bon tour de manège…