Extrait de sa biographie – traduction google….
Sigismond Christian Hubert Goetze était un riche artiste qui peignait à l’huile et à l’aquarelle ; ses sujets étaient généralement des paysages ou des scènes d’histoires religieuses et mythologiques. Il est né en Grande-Bretagne, son père James étant un courtier colonial d’ascendance allemande, qui avait vécu au 132 Maida Vale (anciennement no 7 Kilburn Priory) mais avait déménagé à Upper Hamilton Terrace en 1861. Sigismund a d’abord exposé à la Royal Academy au de 22 ans et a été professeur suppléant à la St John’s Wood Art School. Ses parents adoraient St Mark’s, Hamilton Terrace, où il y a une fenêtre à leur mémoire et Sigismund y fut baptisé le 19 février 1868. La famille vivait à Hamilton Lodge, 86 Carlton Hill.
Maison du Bosquet
Il a vécu à Grove House, de 1909 à 1939 ; la maison est une villa néo-grecque, construite par Decimus Burton, à Regent’s Park, en face de l’église St John’s Wood. Il se compose d’un hall d’entrée circulaire, d’une rotonde centrale à piliers et d’un salon avec un portique en plein cintre. Goetze a décoré le salon avec des scènes des Métamorphoses d’Ovide et la salle avec des signes du zodiaque.
Grove House était le modèle de Rochester House dans le roman New Arabian Nights de Robert Louis Stevenson. La sœur de Sigismund, Violet, a laissé une copie annotée en soulignant les similitudes avec Grove House
C’était une magnifique résidence sur les berges du canal. La grande étendue du jardin l’isolait à un degré inhabituel des nuisances du voisinage. Cela ressemblait au parc aux cerfs d’un grand noble ou d’un millionnaire. Là où le roman dit que le jardin était si vaste, Violet note qu’il faisait près de cinq acres, très long et étroit. Elle écrit que le duel s’est déroulé dans la roseraie et que la tombe doit être placée juste au-delà, entre l’alcôve du mur de la poterne. La pluie tomba abondamment et les aventuriers s’abritèrent sous quelque lierre pendant dit le roman, tout l’endroit était envahi de lierre en 1907, remarque Violette.
Une partie de la maison avait manifestement besoin d’être rénovée – une seule bougie brûlait dans la grande cuisine pavée qui était dépourvue du mobilier habituel et alors que le groupe commençait à monter de là par un escalier en colimaçon, un prodigieux bruit de rats témoigna plus clairement de la délabrement de la maison – Violet, lapidaire, remarqua que les rats s’étaient débarrassés lorsque de nouveaux drains avaient été installés. Sur une note plus légère, les oiseaux sifflaient dans les arbustes et sur les arbres forestiers du jardin dans le livre parce que, comme Violet l’a noté, c’était un grand sanctuaire de reproduction et de nidification.
Il a converti les écuries de Grove House en studio, qui, selon Montgomery Eyre, était l’une des plus belles du bois, se classant à côté de celle d’Alma Tadema. William Reid Dick a dit qu’il était un homme d’une culture exceptionnelle.