Après de jolies jeunes filles, jeunes femmes, coiffées, les aiguilles toujours à la main, un peu de détente pour elles…ou leurs enfants parce que le temps a passé et, pour cela, deux nouveautés: l’autocar et le cirque. Dans l’autocar, des gens de la campagne qui viennent au marché ou qui viennent de Quimper ou de Douarnenez, pour « affaires » et c’est le grand peintre Albert Marquet qui fixe la scène pour l’éternité en 1928. Puis le cirque qui va de ville en bourg et qui, aujourd’hui, occupe la même place du marché, certains enfants auront peut être pris l’autocar pour y venir, c’est l’artiste – dont on ne sait plus rien aujourd’hui – France Richardson qui plante le chapiteau sans doute à la même époque, l’époque des années folles qui abandonnent définitivement les temps anciens….